Le cireur de bottes et son journal
7 septembre 2016
Il est à peine treize heures. Le soleil se balade librement dans le ciel limpide de Puerto Plata. Entre-temps, la température avoisine les 30°C. Le climat s’intensifie au fil des minutes. Les rues de la ville connaissent une allure pressante. Des enfants reviennent de l’école. Les concerts des véhicules nuisent aux abonnés du silence. Les rayons vainqueurs du soleil calcinent la peau des piétons. Les trottoirs de l’avenue Ginebra sont…